INFO HYBRIDE FESTIVAL
A quelques jours de l’HYBRIDE FESTIVAL nous sommes au regret d’annoncer l’annulation de la soirée de ce vendredi 7 octobre. En effet, faute de préventes, nous souhaitons concentrer l’événement sur la seule soirée du samedi 8 octobre afin de privilégier la convivialité et la découverte artistique.
Les places vendues pour le vendredi et les pass 2 jours seront intégralement remboursées.
Venez retrouver les vignerons et les artistes, samedi 8 octobre dès 17h.
Infos : https://bit.ly/3SBuZBG
Billetterie : https://bit.ly/3eb6jkl
Dégustation vins natures & Dj Sirop Fraise
18h-20h – Guinguette
Des vigneron.nes jurassien.nes et aussi d’ailleurs, partageront leurs savoir-faire et vous feront déguster leurs productions de vins natures.
Les vigneron.nes jurassien.nes présent.es :
– Didier Grappe
– Domaine de l’Octavin
– Les Bottes Rouges
– Marie Menoux et Thomas Rougier
Les vigneron.nes hors Jura présent.es :
– Domaine des Grottes
– Le Grain de Sénevé
Pour vous échauffer les oreilles, le Dj Sirop Fraise ambiancera cette dégustation.
Sirop Fraise est le local de l’étape telle une appellation géographique protégée. Sans musique mainstream ajoutée, aux notes d’électro, de disco & de techno en bouche, à déguster sans modération.
Hoorsees
A 20h en Club
Hoorsees – Indie rock
Après un premier album paru en 2021, Hoorsees réitère et précise son goût pour la pop culture pré-numérique. Cet opus produit en pleine montagne par le groupe lui-même, offre un melting pot post-moderne de ce qui nourrit l’identité du groupe. Les morceaux alternent et se répondent, formant le décor d’un appartement éclairé à la lueur d’une télévision qui zapperait sans discontinuer au son de Jonathan Richman, Pavement ou du Blue album de Weezer. En s’appuyant sur les bases de son premier album, Hoorsees raconte l’étrange spectacle du quotidien et marque ici son plus mémorable touchdown.
Cannibale
A 21h en Grande salle
Cannibale – Electro rock
Cannibale a poli un son à mi-chemin des Caraïbes, de la scène garage de la côte ouest américaine des années 1960 ou du Brésil de Tropicalia. C’est un véritable boulet de canon psychédélique et ensoleillé, qui provoque la danse et la bonne humeur chez tou.tes .celles.ceux qui se laissent tenter !
Avec leur troisième album, Life is Dead, sorti en novembre dernier, les normands enfoncent bien le clou ; celui de leur esthétique si particulière qui s’annonce encore comme un sacré producteur d’imaginaires et de spasmes incontrôlés du bassin et des boyaux de la tête.
Walter Astral
A 22h30 en Club
Walter Astral – Pop psyché
Jeune pousse de la scène psychédélique française, Walter Astral est un explorateur céleste, arpentant des mondes parallèles. Druide autoproclamé, le duo est amateur de vêtements bariolés et fan revendiqué de King Gizzard & The Lizard Wizard, d’Altin Gün et de Grizzly Bear. Leur musique, aux paroles un brin hippies, parlent de la nature et des éléments, tout en s’accompagnant de beats electro parfaits pour la transe et d’un banjo qui chez eux sonne comme un saz turc. Embarquement immédiat pour un cosmic trip que vous n’oublierez pas.
Taxi Kebab
A 23h30 en Grande salle
Taxi Kebab – Psyché Désorientall
La musique électronique du duo français Leila Jiqqir et Romain Henry – alias Taxi Kebab – révèle des influences psyché, le tout hanté par le spectre des racines Nord Africaines de Leïla. En réhabilitant la darija, sa langue paternelle, c’est à travers un registre poétique libérateur que sa voix interagit avec les arpèges acides et les nappes ondulantes des expérimentations de Romain aux machines. Sur leur premier EP, Visions al 2ard (Visions de la Terre), synthétiseurs, boîtes à rythmes, guitares modulées, et buzuq amplifié se heurtent comme une échappée nocturne à travers les paysages marocains, en dévoilant leur son psyché désoriental.
Vincent Black
A 00h45 en Grande salle
Vincent Black – Electro
À la série US des 90’s, réminiscence de sa propre enfance, Vincent Black emprunte sans rougir le caractère populaire. L’histoire d’un rebelle à la hiérarchie, chasseur de primes comme certains sont diggers. Quant à la Vincent Black Shadow, elle fut la plus puissante et plus rapide moto des années 50. Une pépite en avance sur son temps, dans l’esthétique comme dans la mécanique. En filigrane de ces références peu communes, on perçoit la liberté de celui qui ose tout dans ses mix : 90 ou 130 bpm, anthems midstream ou références inconnues, deep house ou drum’n’bass la plus rugueuse.